« Un poème de mon interminable et douloureux exil, en solidarité profonde avec les combattants de l’AMDH et de la résistance marocaine. de même, toute ma solidarité profonde et fraternelle avec Khadija Ryadi, et ses non moins courageux vice-présidents Abdelhamid AMINE et Ben Abdeslam, agressés et matraqués sauvagement par les prétoriens makhzéniens, au cours d’un sit-in pacifique à Rabat, le 15 juin 2007. »

Abdellah Baroudi

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